Quand il y en a plus, il y en a encore.
Quand une nana fait rouler, que dis-je, fait taper à coups de 800 décibels la marche, sa valise TOUT LE LONG des 3 escaliers de St Lazare, sans même se dire que ça pourrait déranger les gens autour, ou ceux situés dans une périphérie de 18 kms.
Quand le serveur te dit que la bouteille de vin blanc n’a pas besoin de cooler vu que le vin est frais. Alors qu’il ne l’est pas. Du. Tout.
Quand j’entends quelqu’un dire Répu’.
Quand on écoutait de la musique à deux avec une seule paire d’écouteurs et que la personne tournait la tête et faisait par la même occasion tomber notre écouteur. Je remercie sincèrement, du fond du cœur, le Roger qui a créé les double jacks.
Quand l’un de mes contacts Facebook met un bout de post en anglais alors qu’il ne parle pas du tout anglais en vrai.
Quand j’entends quelqu’un dire St Mich’
Avoir de l’eau qui coule le long de son bras quand on se lave le visage, et mouiller sa manche.
Quand j’entends quelqu’un dire St Laz’
Marcher dans une flaque d’eau dans la salle de bain alors que l’on vient de mettre ses chaussettes
Les gens qui marchent exactement à la même vitesse que nous dans la rue et à côté desquels on marche pendant de longues minutes dans un silence gêné palpable et des regards en coin
Les gens qui cherchent leurs mots sur les notes vocales et nous forcent à écouter des “euuuhhhhh” “du couuuuuuuup” “attends j’disais quoi déjà ?”